Corps à coeurs
J'ai mis longtemps à fermer les yeux. Je repensais à ces quelques heures que des mois et des années ne vaudront jamais. A ces instants dérobés à l'insignifiant dans l'oubli des usages communs. A cette atmosphère où enfin l'un avec l'autre nous nous éprouvons dans nos chairs. A cet état charnel où la satiété est un luxe.
Le désir ne s'interrompt jamais Monsieur...
Photo - Géoffroy de Boismenu -
Lun 14 mar 2011
2 commentaires
C'est notre choix....
Juliette
le désir ne s'interrompt jamais c'est l'objet du désir qui change...
besos
tilk
tilk - le 17/03/2011 à 09h43
Pour moi, ici, toujours le même.
Bises
Juliette
Cest un choix d'aimer difficile mais qui donne des moments intenses pour qui peut le supporter. Je ne le pourrais pas mais je vous envie chère Juliette.