A ta pensée
Mon échine t’espère
Mes mains te cherchent s’amusent et s’égayent
Mes reins s’enflamment et se cambrent
Ma croupe te désire déraisonne et exulte
Et s’incline pour mieux te célébrer
Mon œillet se déploie se réjouit et jubile
A l’idée que tu vas le darder, le gorger
Alors je déraisonne et je délire en me rêvant agenouillée
Me prosternant pour te combler te barbouiller te charbonner
Je t’aime
Samedi 15 décembre
6
15
/12
/Déc
15:40
-
Publié dans : Absence
-
1
Petits messages