Elle était à genoux et montrait son derrière

Dans le receuillement profond de la prière.




Pour le mieux contempler j'approchai de son banc:

Sous la jupe levée il me sembla si blanc

Que dans le temple vide où nulle ombre importune

N'apparaissait au loin par le bleu clair de lune,

Sans troubler sa ferveur je me fis son amant.

Elle priait toujours. Je perçus vaguement

Qu'elle bénissait Dieu dans le doux crépuscule.

Et je n'ai pas trouvé cela si ridicule.


Germain Nouveau

 

Samedi 30 août 6 30 /08 /Août 06:08
- Publié dans : Poésie - Communauté : Charme
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Commentaires

Ohhhhh !
commentaire n° :1 posté par : Peu importe le: 30/08/2008 à 18h13
Ohhhhhhhhhh ! je suis choquée ! lol
commentaire n° :2 posté par : Lilian le: 30/08/2008 à 22h54
Rien de tel que la ferveur de la prière. On peut parfois être exaucé !
commentaire n° :3 posté par : Claire le: 01/09/2008 à 06h00
Lol ! Le pouvoir de la prière n'a d'égal que celui du rêve ...
réponse de : Juliette le: 02/09/2008 à 08h06
Elle bénissait Dieu Dieu se léchait les babines St Pierre, d'un air distrait, jouait avec ses clés... Ed
commentaire n° :4 posté par : Ed le: 17/09/2008 à 00h21

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