Journées et soirées à travailler sans relâche, me voilà ivre de fatigue. Besoin de m'évader, de trouver une brèche. Je repense à ton
corps lorsque je le chevauche, libre d'aller à mon allure. Lorsque je remue, bondis, m'agite des fesses. Lorsque je lance la gigue et le cri des ogresses. Ondoyante, pesant sur ton ventre, mains
s'emparant de l'air puis s'abattant sur toi. C'est en pensant à toi que j'oublie mes contraintes.
Photo - Valmont -
Petits messages