Harnachés pour la cavale obscène, aller avec fouge dans l’indécente effusion.
Lâcher la bride, s’emballer, jusqu’à sentir les tempes et les ventres pulser.
Haleter d’allégresse, suer, s’exalter dans un galop frénétique et endiablé.
Que la course soit folle, qu’elle explose les têtes !
Peinture - Georges Guinot - link
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