J’ai raccroché le téléphone, tiré la couette par-dessus tête. J’ai pétri lentement mes seins, pressé doucement mes fesses. J’avais encore ta voix en tête. Je t’ai imaginé lapant le con douillet.
Et, dans la tiédeur odorante des draps, je me suis abandonnée….
Mercredi 6 janvier
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06
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18:15
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Publié dans : Absence
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Epuré.Beau.
Merci