La ville a mis sa parure de fête. Que j’aime cet embrasement des rues. Je marche le nez au ciel. Je traque le détail me laissant guider par l' odeur des marrons chauds. C’est beau et apaisant. Mais
sans toi il manque quelque chose. C’est comme une maison accueillante, joliment décorée dans laquelle il n’y aurait pas de feu de cheminée.
Tu me manques !
Lundi 14 décembre
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Publié dans : Coeur à coeur
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