J'ai mis longtemps à fermer les yeux. Je repensais à ces quelques heures que des mois et des années ne vaudront jamais. A ces instants dérobés à l'insignifiant dans l'oubli des usages communs. A cette atmosphère où enfin l'un avec l'autre nous nous éprouvons dans nos chairs. A cet état charnel où la satiété est un luxe.
Le désir ne s'interrompt jamais Monsieur...
Photo - Géoffroy de Boismenu -
Cest un choix d'aimer difficile mais qui donne des moments intenses pour qui peut le supporter. Je ne le pourrais pas mais je vous envie chère Juliette.
C'est notre choix....
le désir ne s'interrompt jamais c'est l'objet du désir qui change...
besos
tilk
Pour moi, ici, toujours le même.
Bises