Je pense à nous, je songe qu'il reste tant à faire, à vivre, à oser. Quel miracle que d'aller sans bien savoir depuis si longtemps ! Et c’est sans aucun doute parce que le tendre souci de l'autre est toujours là !
Il est vrai que le temps passe et court, que je suis dans un tourbillon alors que j’aimerais me laisser bercer et caresser. Enfin…
Pense à moi lorsque tes nuits sont blanches, tu sentiras un souffle sur la nuque, fffftttttt…
Peinture Dylan Lisle
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