Peignoir de soie, dentelles, parfum sur mon sexe et mes seins. Je me prépare comme pour un vrai rendez-vous. J’en souris du reste. Bougies, senteurs orientales. J’ai besoin de ces gestes, pour
lui, pour moi. Pour être pareillement l’un à l’autre que si nous étions ensemble. Je veux profiter de l’instant, l'étreindre en dépit des cloisons de verre. Il y aura les corps, mais aussi les
regards, les mots, les attitudes. Calmer la faim, oui, mais aussi s’émouvoir, vouloir se découvrir, s’apprendre encore, même dans le flou, l’exigüité de la fenêtre ouverte. Puis... le quitter, en
désirant très fort la chaleur de ses bras.
Merci.
Il y a toujours beaucoup de la tendresse dans tes textes. Même dans les situations les plus "extrêmes" les sentiments sont toujours là. Ce n'est pas une fenêtre c'est un prisme dont les couleurs sont souvents douces.
Les moments délicieux sont faits d'une multitude de petits détails. Contente de ton passage Jennifer. Bises parfumées
Bibi