Les plaisirs du palais, le boire et le manger, les senteurs et les lueurs. Les corps tendus, les corps défaits. Les regards. Les mots
tout bas, lubriques et faméliques. L’'envie que l'on raconte et qu'on laisse exploser. Le rire, le tendre. Tout était là.
Photo - Bruno Dayan - link
Je viens aussi sur ton blog en espérant trouver un nouveau billet. Je ne suis jamais déçue.
Le temps passe et tu écris toujours avec force et douceur. Tu parles de plaisir, ce journal intime en est un jour après jour.
J'espère écrire encore dans... 10 ans. Lol
Bises
Les moments suspendus sont rares. Il faut les garder en mémoire et s'en nourrir.
Je t'embrasse
J'aime beaucoup ce blog.
Bienvenue Carlito.