
Secousse , déchirure convulsée...
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Secousse , déchirure convulsée...
Glisser dans la langueur de la nuit
Se fondre dans le vaste silence d'une nature désertée
N'être que failles gorgées d'ombres, parois de chairs, eau qui ruisselle, sève qui monte
Que le ciel nous aspire et que dure l'envol...
La jeune vierge sur le chemin rêve d'un cierge entre ses mains ; ça la
picote sur le devant dans la culotte .C'est énervant !
Faut qu'elle frotte pour la calmer sa douce motte toute enflammée.
Dans l'ombre épaisse, très bien cachée pose ses fesses sur un rocher. Elle suçote un de ses cinq puis se tripote le bout des seins. Titille et pince ses blancs tétons le désir dresse ses deux
boutons.
Sa main triture un peu plus fort sous la ceinture son coffre-fort. Le slip qui moule ses longs poils blonds gonfle et ondule et fait des bonds.
C'est un délice avec ses mains entre ses cuisses et sur ses seins...
Puis triomphante et écartée l'humide fente est attaquée. Son orifice étant bouché quel sacrifice d'y point rentrer ! Elle se venge sur le pistil le doigt de l'ange rentrera t-il ?
Le point sensible est vite atteint c'est une cible qu'elle connait bien...Elle se hérisse sous son doigt, sort son clitoris comme un ressort.
Le chaud liquide de son plaisir coule et débride tout son désir , serrant les cuisses très fortement pour qu'elle puisse feindre l'amant.
C'est la sirène de l'odyssée quand son haleine est cadencée ! Ceux qui l'ouissent dans son coma tout comme Ulysse s'accrochent aux mats.
Ses reins se cambrent, elle jouit ses lèvres vibrent elle dit OUI ! Elle délire des cris plaintifs, elle délivre ses doigts captifs, une fragrance très épicée, désir intense de tout sucer.
Dans sa culotte qu'elle a ôtée y a toutes sortes de voluptés. Elle est légère déculottée, voit son derrière en liberté.
Ses fesses parlent sur le chemin. Elles appellent bien d'autres mains.
Folle amoureuse, Elle l'est bien, et même heureuse .Mais de ses mains le soir la vierge ne l'était plus. Etait-ce un cierge ? On ne sait plus...
C'était l'histoire de Manuella. N'allait pas croire qu'elle finit là. Si tu désires être amant tu dois séduire Manuellement.
"Kayreland"
Suce moi jusqu’au sang, viens mordre ma douceur pour m’entendre crier puis lécher ma douleur pour te faire pardonner. Que gicle ta semence de ton gland empourpré que je viens de blesser pour t’offrir en cadeau ce
doux mal qui te plaît. S’ouvrir à corps perdu et geindre de
plaisir.
Se bercer tendrement et s’endormir meurtris
Photo - Thomas Ruff -
Sous la soie
une antre dérobée , un nid velouté
qu'il faut entrebâiller
comme un cambrioleur
avec doigté , avec douceur...
Douce violence , énergie bouillonnante . Baisers goulus , langues fouilleuses . Bras puissants qui étouffent . Perles de peaux , soupirs profonds . Liqueurs spasmodiques , agitation virile
.
S'offrir , s'ouvrir impudiques et heureux .
Photo - Lombardo -
,
Au coeur de la nuit, juste un rayon de lune. Souffle tiède du vent, décor de pierres fissurées. Douces caresses pour commencer. Inspirations profondes. Très lentement j'embrasse la noirceur
de ta raie .
Très lentement je te branle . Cadence pendulaire pour que le temps s'arrête .....
Papillon butineur aux ailes cajoleuses
Venir virevolter sur ton sexe offert
Le presser de mes doigts, le frotter à ma vulve
Le glisser gémissante en mon cœur ténébreux
Osciller de la croupe ouvrant mes cuisses ivoires
Jusqu'à sentir en moi sa sève m'inonder
Herbe épaisse autour d'un bassin, promeneurs silencieux. Soleil doux qui effleure. Langues au fond de nos bouches.
Tu glisses une main entre chair et tissu, me regarde rieur sachant que je m'inquiète du regard des flâneurs. Ta main sur mon duvet me fait perler d'envie. Murmure de tes doigts pour que mon
corps exulte.....
Ta queue tant espérée s'enfonce entre mes lèvres .Ton gland décalotté vient y chercher la fièvre .Tu es resté debout , jambes bien écartées tenant ma tête en mains pour bien la diriger. Tu es dur
mon amour, tendu comme jamais !
C'est comme de l'acier tiède, une épée de chair tendre qui cogne à mon palais.
Coups de langue sur l'aine , souffle chaud sur ta queue
Tourner autour du sexe , ne pas s'aventurer
Te faire bander sans te calmer
Mais jamais bien longtemps
J'aime trop te goûter !
T'inviter dans l'intime en ouvrant un passage aussi doux que la soie
Puis .....
Venir me délecter du goût de mon plaisir sur tes lèvres charnues
Comme sur le bout d'un quai
Un entre-deux. Un sas entre terre et mer
N'être plus ici mais pas encore ailleurs
Âmes flottantes sur un cargot battant pavillon d'un autre monde
Partance , jouissance ...
Petits messages